Nombre de pages : 366
Prix : 7€30
Résumé : Paris, hiver 2006. Arthur Doffre, milliardaire énigmatique, est sur le
point de réaliser un rêve vieux de vingt-cinq ans : ressusciter un tueur
en série, le Bourreau 125, dans un livre. Un thriller que David Miller,
embaumeur de profession et auteur d'un premier roman remarqué, a un
mois pour écrire contre une forte somme d'argent. Reclus dans un chalet
en pleine Forêt-Noire, accompagné de sa femme et de sa fille, de Doffre
et de sa jeune compagne, David se met aussitôt au travail. Mais il est
des fantômes que l'on ne doit pas rappeler, et la psychose saisit un à
un tous les occupants de la ténébreuse demeure cernée par la neige...
Mon avis : Quand j’ai vu « huit clos »
dans le descriptif du livre, j’ai grincé des dents. Ayant lu Vertige, que je n’ai
pas du tout aimé, j’avais des réticences.
Elles se sont envolées aussi vite qu’elles étaient arrivées ! Dès
la deuxième page, j’ai été tout simplement happé par l’histoire.
David, thanatopracteur, est un homme simple, chaleureux, il met beaucoup de cœur dans son métier, ce qui le rend sympathique, et attachant. Mais une part d’ombre à l’intérieur de lui, aime cette proximité avec la mort… J’ai eu plus de mal par contre avec sa femme Cathy, très possessive et jalouse envers son mari. Dès qu’une femme s’approche elle montre les dents, un comble quand on sait qu’elle est sur le point de se faire avorter après l’avoir trompé avec le meilleur ami de son mari. David et Cathy ont eu une fille, Clara.
David ayant accepté la proposition d’Arthur Doffre, ils partent tous les trois pour ce chalet perdu au milieu d’une forêt, sans moyens de communication. Chalet censé être utilisé pour des expériences scientifiques sur la décomposition du corps humain après la mort. Les expérimentations sont menées sur des cadavres de cochon suspendus à la lisière de la forêt. Un cadre idyllique pour de bons moments d’angoisses au coin du feu !
Très vite David se rend compte que quelque chose cloche concernant Arthur, mais il préfère se concentrer sur son roman et sur le dossier du Bourreau 125. Le bourreau 125, qui entrait chez ses familles, attachait le mari au lit, et obligeait la femme à prélever de la peau ou autre sur le corps du mari. Ensuite, elle devait déposer dans la balance ce qu’elle avait prélevé, pour trouver le juste équilibre face à la plume de Maât… 125 grammes. Il gravait ensuite sur le crâne de l’enfant une série de chiffres, devant les parents agonisants. Il tuait toujours les parents mais laissait aux enfants la vie sauve, pour voir germer la graine du mal en eux…
Quelque chose de noir, de sombre attire David dans cette histoire. Mais pourquoi ? La mort de sa mère peut-être… Qui tiens un rôle important dans sa vie, et se secret qu’elle a voulu lui révéler avant de mourir, qu’il n’a jamais su… Ça le ronge… L’intrigue devient alors obsédante.
Une histoire à la Shining, que j’ai dévoré en deux jours. Une fin incroyable qui pour une fois ne finira pas en happy end. Âmes sensibles s’abstenir, certaines scènes sont assez hard. Mais si vous êtes du genre thriller qui vous empêche de dormir, foncez ! Honnêtement pour ma lecture suivante je vais m’orienter sur quelque chose de plus léger, le bourreau 125 me hante encore...
David, thanatopracteur, est un homme simple, chaleureux, il met beaucoup de cœur dans son métier, ce qui le rend sympathique, et attachant. Mais une part d’ombre à l’intérieur de lui, aime cette proximité avec la mort… J’ai eu plus de mal par contre avec sa femme Cathy, très possessive et jalouse envers son mari. Dès qu’une femme s’approche elle montre les dents, un comble quand on sait qu’elle est sur le point de se faire avorter après l’avoir trompé avec le meilleur ami de son mari. David et Cathy ont eu une fille, Clara.
David ayant accepté la proposition d’Arthur Doffre, ils partent tous les trois pour ce chalet perdu au milieu d’une forêt, sans moyens de communication. Chalet censé être utilisé pour des expériences scientifiques sur la décomposition du corps humain après la mort. Les expérimentations sont menées sur des cadavres de cochon suspendus à la lisière de la forêt. Un cadre idyllique pour de bons moments d’angoisses au coin du feu !
Très vite David se rend compte que quelque chose cloche concernant Arthur, mais il préfère se concentrer sur son roman et sur le dossier du Bourreau 125. Le bourreau 125, qui entrait chez ses familles, attachait le mari au lit, et obligeait la femme à prélever de la peau ou autre sur le corps du mari. Ensuite, elle devait déposer dans la balance ce qu’elle avait prélevé, pour trouver le juste équilibre face à la plume de Maât… 125 grammes. Il gravait ensuite sur le crâne de l’enfant une série de chiffres, devant les parents agonisants. Il tuait toujours les parents mais laissait aux enfants la vie sauve, pour voir germer la graine du mal en eux…
Quelque chose de noir, de sombre attire David dans cette histoire. Mais pourquoi ? La mort de sa mère peut-être… Qui tiens un rôle important dans sa vie, et se secret qu’elle a voulu lui révéler avant de mourir, qu’il n’a jamais su… Ça le ronge… L’intrigue devient alors obsédante.
Une histoire à la Shining, que j’ai dévoré en deux jours. Une fin incroyable qui pour une fois ne finira pas en happy end. Âmes sensibles s’abstenir, certaines scènes sont assez hard. Mais si vous êtes du genre thriller qui vous empêche de dormir, foncez ! Honnêtement pour ma lecture suivante je vais m’orienter sur quelque chose de plus léger, le bourreau 125 me hante encore...
J'entend toujours du bien de cet auteur :)
RépondreSupprimerCa a été le premier Thilliez que j'ai lu et depuis je n'ai plus lâché l'auteur ! J'attends toujours ses nouvelles sorties avec impatiente, toujours emballée par ses romans, bien menés, hantant, et documentés !
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